Le projet de recherche et développement RESP’HAIES (RESilience et Performances des exploitations agricoles liées aux HAIES) s’est déroulé de 2019 à 2022 avec pour objectif de renforcer les connaissances sur les haies. Coordonné par l’Afac-Agroforesteries, ce projet a bénéficié du soutien du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire.

Les objectfis de ce projet étaient très similaires à ceux visés par SAGID+:

• Produire de nouveaux outils et référentiels qui seront mis à disposition des agriculteurs et de tous les acteurs qui mènent des actions sur les haies (conseillers-techniciens agroforestiers, gestionnaires territoriaux, enseignants-formateurs, apprenants)
• Guider l’action publique en faveur des haies.

A travers ces nouvelles connaissances et outils, ce projet avait pour finalité de renforcer l’implantation, la gestion durable et la valorisation des haies pour qu’elles contribuent à la résilience des exploitations agricoles et des territoires ruraux, ainsi qu’à leurs performances économiques, environnementales, et socio-territoriales.

Davantage d’informations et les résultats du projet sont disponible sur la page internet du projet RESP’HAIES.

Le projet BISON (Biodiversity and Infrastructure Synergies and Opportunities for european transport Networks - Biodiversité et infrastructures Synergies et opportunités pour les réseaux de transport européens) a réuni 42 partenaires en provenance de 17 pays.

Il visait à améliorer la fiabilité des infrastructures dans un contexte d’adaptation au changement climatique, en identifiant les bonnes pratiques permettant de limiter notamment la présence d’espèces exotiques envahissantes et la fragmentation des habitats.

Toutes les informations et les résultats sont à retrouver sur le site du projet.

L’association “Synergie Plantes Invasives Grand Est”, SPIGEst a pour but de rassembler des acteurs des sphères publique, académique, associative et professionnelle impliqués dans la lutte contre les plantes invasives. Les objectifs principaux du SPIGEst sont:

• d’acquérir de nouvelles connaissances techniques et scientifiques concernant ces plantes et leurs stratégies d’invasion,
• de recenser et de cartographier leurs aires d’implantation,
• de développer des modes de lutte efficaces afin de limiter l’aire d’implantation de ces plantes et qui soient économiquement soutenable et socialement acceptable,
• de sensibiliser et de diffuser les résultats de ses travaux expérimentaux auprès de diverses communautés

Les travaux réalisés dans le cadre de cette association ont notamment permis la publication d’un article scientifique: “Ecological restoration combining mowing and competition limits the development of invasive Reynoutria japonica”.